Mali Evaluations
Evaluation Finale du projet “Renforcement de la résilience communautaire à la désinformation dans les régions du nord et du centre du Mali.”Le projet « Renforcer la résilience communautaire à la désinformation dans les régions du nord et du centre du Mali » a été et mis en œuvre par Search for Common Ground (Search), en partenariat avec le Centre National d’Alerte Précoce du Mali (CNAP) pendant une durée de […] |
Evaluation Finale du Nedew Ashika! Demain ensemble – pour la paix à Kidal – Mars 2023Le projet « Nedew Ashika ! Demain ensemble » – Unis pour la paix à Kidal » a été mis en œuvre durant 18 mois dans trois communes du cercle de Kidal (Kidal, Anefif et Essouk). Il a été mis en œuvre par Search for Common Ground et […] |
Baseline – Renforcer l’accès à la justice dans la commune urbaine de Ménaka – Septembre 2020L’étude baseline a été réalisée dans le cadre du projet « RENFORCER L’ACCÈS À LA JUSTICE DANS LA COMMUNE DE MÉNAKA » mis en œuvre par Search For Common Ground. Ce projet de 12 mois est un financement du Ministère de l’Europe des Affaires étrangères de la France. L’objectif principal de ce projet est de “Renforcer la confiance et la collaboration entre les acteurs de la chaîne pénale, la société civile et les communautés pour le développement d’une vision commune de la justice et du processus de réconciliation dans la commune de Ménaka” Après analyse des données, les résultats de cette étude ont révélé plusieurs constats, parmi lesquels : Le personnel du tribunal, à savoir le président, le greffier en chef et le secrétaire de greffe, sont tous partis au début de la crise et ne sont plus revenus pour exercer leur fonction. Dans le fonctionnement actuel de ce tribunal, le planton qui est de la localité, continue d’assurer le minimum de service à travers la vente des imprimés signés (certificat de nationalité, casier judiciaire et jugement supplétif) que le juge envoie par lot. Malgré l’absence du tribunal, il existe des mécanismes traditionnels animés par les leaders religieux (cadis), les leaders communautaires et les groupes armés pour rendre la justice. Ces mécanismes sont connus par 84% des personnes sondées 86% des personnes interrogées méconnaissent les procédures et les mécanismes d’accès à la justice formelle… |
Etude de base du projet « Renforcer la résilience communautaire et la désinformation dans les régions du nord et du centre du Mali » – JUIN 2021Face à la crise sécuritaire, et les discours de haines ou stigmatisant, l’ONG Search for Common Ground a développé en partenariat avec le Centre National d’Alerte Précoce (CNAP), un projet de 24 mois pour renforcer la résilience communautaire face à la désinformation dans les régions du Nord et du Centre du Mali. L’étude de base du projet « Renforcer la résilience communautaire et la désinformation dans les régions du nord et du centre du Mali intitulé “Tabalé Kunkan’’ a pour but d’établir la situation de référence du projet à partir de laquelle les progrès seront mesurés. Elle a utilisé une approche mixte incluant la revue documentaire, la collecte de données quantitatives et qualitatives sur la base de questionnaires et de guides d’entretien pour répondre aux objectifs indiqués dans les termes de référence. De l’analyse des résultats de cette étude de base, on peut retenir que : Les résultats de cette étude démontrent que 62% de la population n’ont pas une attitude critique face à la désinformation, aux discours de haine et aux rumeurs. |
Etude de base du projet «Renforcer la résilience des jeunes des régions du Sud face aux conflits et aux discours menant à la haine» – JANVIER 2021Afin de prévenir les conflits dans le Sud du Mali, UNICEF (Fonds des Nations Unies pour l’Enfance) en partenariat avec Search for Common Ground Mali (Search) Mali a développé une initiative de 36 mois intitulée “Anw be Gnokon Bolo” visant l’inclusion des jeunes comme acteurs clés dans les processus de consolidation de la paix afin de prévenir les conflits dans le Sud du Mali. Financé par le Fonds du Secrétaire Général pour la Consolidation de la Paix des Nations Unies et mis en œuvre en collaboration avec le Ministère de la Jeunesse et des Sports du Mali, ce projet a pour objectif de renforcer la résilience des jeunes au niveau des trois régions de Kayes, de Koulikoro, de Sikasso et du District de Bamako face aux conflits et discours menant à la violence. Parmi les principaux résultats de cette étude, on note que : Les acteurs qui jouent un rôle déterminant en faveur de la cohésion sociale sont entre autres les leaders communautaires (les leaders religieux, les chefs de quartiers et villages), le RECOTRAD, les ERAR, le Haut Conseil Islamique, la société civile (association de jeunes, de femmes etc…), ONG nationales et internationales, les médias, CAFO, les autorités administratives et locales, les comités de gestion des conflits et les FDS. 96% des répondants estiment que les jeunes de 18 à 35 ans peuvent contribuer à la cohésion sociale, à la prévention et la gestion des conflits. Et pour y parvenir de façon efficace, ils doivent d’abord prendre conscience de leur importance et de leurs responsabilités au sein de la communauté, ensuite se former sur les techniques de prévention et de gestion des conflits. Ils doivent également s’organiser en association afin de s’impliquer dans le processus de consolidation de la paix et de la cohésion sociale en multipliant les actions de sensibilisation auprès des communautés, les rencontres d’échanges avec toutes parties prenantes en vue de créer les conditions idoines pour un bon vivre ensemble. Ils doivent aussi initier et mettre en œuvre des activités et projets conformément à leurs besoins et à leurs aspirations afin de se faire entendre au plus haut niveau de l’Etat… |
Etude de base du projet «Renforcer la résilience des jeunes des régions du Sud face aux conflits et aux discours menant à la haine» – JANVIER 2021Etude de base du projet « Renforcer la résilience des jeunes des régions du Sud face aux conflits et aux discours menant à la haine » – JANVIER 2021 Parmi les principaux résultats de cette étude, on note que : Les acteurs qui jouent un rôle déterminant en faveur de la cohésion sociale sont entre autres les leaders communautaires (les leaders religieux, les chefs de quartiers et villages), le RECOTRAD, les ERAR, le Haut Conseil Islamique, la société civile (association de jeunes, de femmes etc…), ONG nationales et internationales, les médias, CAFO, les autorités administratives et locales, les comités de gestion des conflits et les FDS. 96% des répondants estiment que les jeunes de 18 à 35 ans peuvent contribuer à la cohésion sociale, à la prévention et la gestion des conflits. Et pour y parvenir de façon efficace, ils doivent d’abord prendre conscience de leur importance et de leurs responsabilités au sein de la communauté, ensuite se former sur les techniques de prévention et de gestion des conflits. Ils doivent également s’organiser en association afin de s’impliquer dans le processus de consolidation de la paix et de la cohésion sociale en multipliant les actions de sensibilisation auprès des communautés, les rencontres d’échanges avec toutes parties prenantes en vue de créer les conditions idoines pour un bon vivre ensemble. Ils doivent aussi initier et mettre en œuvre des activités et projets conformément à leurs besoins et à leurs aspirations afin de se faire entendre au plus haut niveau de l’Etat… |
Evaluation finale du projet «Renforcer l’accès à la justice dans la commune urbaine de Ménaka» – Mai 2021Le projet « Renforcer l’accès à la justice dans la commune urbaine de Ménaka » a été mise en œuvre par Search et son partenaire TRIJEUD dans la commune urbaine de Ménaka, ce projet de 12 mois (Juillet 2020-Avril 2021) était un financement du Ministère de l’Europe des Affaires étrangères. Les données collectées lors de cette évaluation ont permis d’établir qu’il était une nécessité de mettre en œuvre ce projet dans la commune urbaine de Ménaka, car depuis 2012 le tribunal de Ménaka est fermé c’est-à-dire non fonctionnel. L’étude de base de ce projet révélait que les communautés avaient une mauvaise perception sur les acteurs de la chaîne pénale et cette étude a permis de comprendre que l’implémentation de certaines activités a fortement contribué à influencer cette perception. Grâce à ce projet le juge de Ménaka qui depuis sa prise est à Bamako à fait deux tours à Ménaka et aussi c’est le lieu de dire qu’un cadre de collaboration a été mis en place entre les acteurs de la chaîne pénale et les communautés. Cependant, il existe d’autres mécanismes pour pallier à l’absence du tribunal et il est important de préciser que parmi ces mécanismes se sont les cadis qui sont les plus sollicités. Les résultats de l’analyse de données permettent de dire clairement que le niveau des indicateurs du projet s’est beaucoup amélioré à titre d’exemple l’indicateur 2.2 qui était de 10% à la baseline a été mesuré 65% à l’évaluation finale. Enfin des recommandations assez pertinentes ont été formulées pour la prochaine phase du projet. |